3 raisons de moins manger japonais

3 raisons de moins manger japonais

La cuisine japonaise est certainement une des plus diététique au monde. Elle apporte au corps des tas de bons nutriments qui sont excellents pour la santé. Elle a été longtemps reconnue comme étant la cuisine parfaite pour devenir centenaire. Elle reste cependant une des plus caloriques si l’on ne fait pas attention à certains mélanges. Mais il y aussi, depuis quelques années, quelques inconvénients à prendre en compte qui font qu’il est préférable de limiter de manger des sushis ou makis entre autres le plus possible.

 

Une cuisine bourrée de calories

L’excédent de calorie dans la cuisine japonaise

6 sushis valent l’équivalent de 300 Kcal. Autant dire qu’un simple menu peut devenir aussi calorique que celui d’un Fast Food. Les California rolls au thon avec riz vinaigré, avocat et graine de sésame font chacun 50 Kcal. Pour le sushi saumon cru avec riz vinaigré, c’est à peu près le même taux. 45 Kcal. Les makis et les sashimis au saumon tournent autour de 20 Kcal à 35 Kcal chacun. Les Chirashis ou les Yakitoris font chacun aux alentours de 180 Kcal. Et comme dans un menu digne de ce nom, il faut ajouter les accompagnements, il faut savoir que le bol de riz vinaigré fait à lui tout seul plus de 100 Kcal, le bol de salade de chou plus de 80 Kcal et la soupe miso dans les 40 Kcal.

C’est avant tout le saumon et le riz vinaigré qui sont les plus forts en calories. Vous pouvez faire baisser le taux calorique d’un menu japonais au tiers simplement en les évitant. Pour prévenir de prendre indéniablement une taille de sumotori, il va falloir faire le tri. Hé oui ! Encore !

 

Trop d’additifs dans les menus japonais

 

C’était pourtant autrefois une des cuisines les plus « healthy » qui soit. Aujourd’hui, il y a une insistance persistante et une volonté à donner un certain gout aux plats afin de leur attribuer leurs soi-disant saveurs d’antan. Peut-être pour la simple raison que ces plats ne sont pas vraiment préparés par de vrais Nippons. Toujours est il qu’il faut retenir que la sauce soja contient à elle seule environ une cuillère à soupe de sel. Dans la sauce soja sucrée on y trouve du sirop d’amidon, du sucre et du glucose. Soit l’équivalent d’un morceau de sucre à chaque gorgée. Le simple gingembre mariné contient à lui tout seul du sel, du glutamate monosodique, de l’acide acétique, de l’acide citrique, du sorbate de potassium, de la saccharine sodique, du rouge anthocyanes et certainement plein d’autre choses. Le thon rouge est dénoncé depuis des années pour contenir du mercure. Sans oublier les soupes et nouilles contenant du glutamate ou E621, qui est un exhausteur de goût dont les répercutions sont d’ordre neurologiques, entre autres.

Très appétissant tout ça !!!

 

La pèche intensive du thon rouge

le désastre de la pèche intensive au même titre que la chasse intensive

Lorsque l’on sait qu’au marché au poisson japonais, l’on peut voir chaque matin des chambres froides immenses se transformer en morgue pour des milliers de thons rouges allongés les uns à côté des autres et ou les prix peuvent flamber jusqu’au point de faire qu’une simple bouchée puisse atteindre les 500 $, on se demande si l’on peut vraiment avaler un sushi en toute bonne conscience. Comment peut on avoir du plaisir aujourd’hui à manger un animal qui tend certainement à disparaitre dans moins de dix ans ? Avons-nous le droit d’avoir si peu de conscience envers la nature qui nous a tant offert ? Sommes-nous à même d’omettre cette complicité latente que nous cherchons absolument à mettre aux oubliettes pour s’empêcher de ressentir le poids grandissant de notre mauvaise conscience. Cette mauvaise conscience qui risque de devenir notre seul héritage à transmettre malgré nous.

Pour ce qui est de la pèche intensive, les japonais ne sont pas les seuls à blâmer. Même les poissons d’élevage sont nourris avec des tonnes de poissons sauvages qu’on laisse pourrir dans les cales de bateaux des mers du nord. Il faut à peu prés 20 Kg de poissons sauvage pour nourrir un seul poisson d’élevage. Ou va-t-on ?

La modération est pour l’instant le seul remède.

Nous vivons une époque cruciale ou beaucoup d’efforts sont à déployer du fait du cumul de multiples erreurs irréversibles. Manger japonais est sain pour le corps. Encore faut-il que tous les ingrédients le soient aussi. En attendant que cette mode culinaire passe, il va falloir se montrer prudent et exigeant en même temps pour pouvoir nourrir son corps en toute sérénité.


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