Comment convaincre son partenaire de coparentalité à faire un deuxième enfant
Nous voilà parent tous les deux avec un enfant qui est parfait selon vous avec cette joie de vivre qui vous comble de bonheur après plusieurs années, vous vous dites sûrement quoi attendre de plus puisque vous êtes comblé, et sûrement l’un d’entre vous souhaite apporter un petit plus à cette famille mais ce n’est pas forcément partagé.
Forcément celui qui a la garde aura l’avantage du choix et souvent la décision finale lui impute , en dehors des considérations financière ou fiscale qu’il ne faut surtout pas mettre sur la table car c’est bien la pire des raisons de faire un enfant supplémentaire, vous pouvez en discuter avec votre partenaire en élaborant plusieurs arguments pour arriver à cet objectif de compléter un peu plus cette famille originale ou plutôt d’un nouveau temps.
Éviter d’en faire un enfant unique.
Ça paraît bateau car souvent être enfant unique est perçu de façon péjorative ou bien que beaucoup et ont trouvé une source d’inspiration, mais c’est en effet une vie qui n’a pas plu à de nombreux cas parce que ils n’ont pas développé des compétences sociales et ont gardé un caractère capricieux du fait d’être un enfant unique donc un enfant roi ou la tension des deux parents lui était dévoué, lorsqu’il est enfant il apprécie forcément ce statut mais il va le regretter s’il ne s’aperçoit pas de ce côté pervers que cela entraîne.
L’argument de faire un deuxième enfant reposera beaucoup sur cette volonté de faire une cohésion familiale scène et plus réjouissante.
Penser au très long terme
Cet argument peut-être intéressant si les deux parents souhaitent un engagement prolongé avec l’enfant car ils ont à cœur de garder un lien dans le temps. Avec un seul enfant vous êtes d’autant plus fragile à ses choix comme par exemple celui de vivre à l’étranger après les études ou même pendant, cela peut faire un choc bien qu’il s’agisse de deux décennies dans le futur. Cela peut agir comme un cercle vicieux car vous conseille seront beaucoup orientés en fonction de vos besoins vis-à-vis de cet enfant, avec un deuxième ou un troisième enfant vous laisserez plus de liberté à chacun et cela sera vécu de façon favorable. D’ailleurs la question du deuxième ou du troisième enfant devrait être même discuté avant le premier , de façon bien entendu anecdotique mais quand même.
Vous ne voulez pas d’un écart d’âge trop important
2 enfants s’entendront beaucoup mieux si quelques années les séparent plutôt qu’une décennie ou deux, notre partenaire doit comprendre que deux enfants proches d’âge partageons plus de choses et évolueront même l’un en fonction de l’autre de façon favorable, une concurrence saine souvent qui galvanise les ambitions et des souvenirs plus réjouissant, cet argument sera touché votre partenaire.
Vous ne voulez pas d’un parent différent.
C’est une façon de mettre dos au mur votre partenaire de façon subtile mais il faut parfois y mettre du sien pour le convaincre de passer à l’action surtout si celui-ci ne se retrouve pas engagé davantage. Sans que ce soit sur un ton menaçant vous pouvez simplement évoquer le fait que vous ne souhaitez pas trop attendre et que le choix d’un autre partenaire pourrait vous satisfaire relativement tout en gardant un lien avec lui. Cela aura sûrement un petit effet de jalousie qui ne sera pas forcément une mauvaise chose mais qui motivera sûrement votre partenaire à y réfléchir. Deux parents différents entraîne deux emplois du temps différents et aussi beaucoup moins de disponibilité pour le premier dans le cas où le deuxième souhaite s’engager également.
Pousser le désir
Si vous vous plaisez mutuellement le dernier argument est sur moi le plus léger mais il faut de la légèreté parfois, n’hésitez pas à vous apprêter ou chercher à tirer le désir chez l’autre dans le but de vous rapprocher physiquement, ça changera pas forcément un avis tranché mais ça poussera sûrement dans la balance lorsque celui-ci hésite encore. Moi le premier je suis quelqu’un de très indécis et parfois un petit détail me fait pencher d’un côté ou de l’autre donc je ne néglige pas ces petits plaisirs.